L’équipe du Cercle des ambassadeurs et du Centre des congrès de Québec s’est entretenue avec l’ambassadeur Marc Pouliot concernant la venue du 16e Congrès mondial sur l’inflammation (WCI2024) en juillet 2024.
Organisé par l’Association internationale des sociétés de l’inflammation (IAIS), c’est seulement la deuxième fois que ce congrès biennal a lieu au Canada, depuis l’édition de 2003 à Vancouver.
Quelle est votre implication derrière la venue à Québec de cet important congrès du secteur des sciences de la vie?
Je suis à la présidence du comité organisateur local de WCI2024, accompagné de cinq autres collègues du secteur universitaire canadien, dont le Dr. Serge Rivest, qui est également chercheur au CHU de Québec. C’est à Londres, en 2017, que nous avions présenté notre candidature pour attirer l’événement à Québec, avec l’aide de la dynamique équipe du Cercle des ambassadeurs et du Centre des congrès de Québec.
Combien de scientifiques sont attendus à WCI2024?
L’événement prévoit attirer à Québec plus de 600 chercheurs et scientifiques de partout à travers le monde, issus d’universités, de sociétés de biotechnologie, de pharmacie et de fabrication de dispositifs médicaux. Les plus récentes avancées en inflammation seront présentées ici, à notre porte. WCI2024 représente une occasion inégalée de réseautage pour notre communauté, tout en contribuant au développement des sciences de la vie et de notre domaine de recherche.
Pouvez-vous nous parler de l’accompagnement et des services offerts par l’équipe du Cercle des ambassadeurs et du Centre des congrès de Québec?
Organiser un congrès international peut sembler un défi de taille, mais heureusement, le Cercle des ambassadeurs et le Centre des congrès de Québec sont des partenaires indispensables tout au long du processus. De l’élaboration de notre dossier de candidature jusqu’au démontage de la salle à la fin de notre événement, en passant par les programmes d’appui financier, ils mettent tout en place pour faciliter la livraison de notre projet et en maximiser les retombées. J’avais collaboré avec l’équipe du Cercle pour le symposium international Neutrophile, tenu à Québec en 2018, et, grâce à leur appui, je n’ai pas d’inquiétude que WCI2024 sera un grand succès également!
Recommanderiez-vous à un ou une collègue en sciences de la vie de se lancer dans l’aventure d’organiser un congrès international à Québec?
Absolument! L’organisation d’un congrès international est une expérience enrichissante qui permet d’explorer de nouveaux horizons au cœur de notre secteur de recherche, en plus d’accroître l’étendue de nos compétences. C’est aussi une excellente occasion de faire reconnaître nos expertises au reste du monde, ce que nous ne faisons pas suffisamment, à mon avis. Si vous êtes un membre actif au sein de votre association et que vous croyez au potentiel de Québec comme destination congrès, vous avez déjà le profil!
Avez-vous des exclusivités à nous partager pour WCI2024?
À l’occasion de WCI2024, nous remettrons de prestigieuses récompenses, dont une pour l’achèvement d’une carrière, et une autre pour reconnaître l’apport des femmes en recherche. Ce sera aussi une belle opportunité de rendre hommage à l’un de nos grands chercheurs ici, à Québec. Tout cela sera dévoilé bientôt.
